Nîmes : Cinq jours après la disparition d’un psychologue, le fils s’accuse du meurtre

Published 4 hours ago
Source: 20minutes.fr
Nîmes : Cinq jours après la disparition d’un psychologue, le fils s’accuse du meurtre
<p>L’homme était porté disparu depuis mardi. Dimanche, le fils du psychologue Salah Bouabdallah s’est présenté au commissariat de <a href="https://www.20minutes.fr/dossier/nimes">Nîmes</a> dans le <a href="https://www.20minutes.fr/societe/gard/">Gard</a> et s’est accusé d’avoir tué son père, a annoncé la procureure de Nîmes, Cécile Gensac. Le jeune homme, âgé de 27 ans, aurait alors « confié être l’auteur du <a href="https://www.20minutes.fr/dossier/meurtre">meurtre</a> » et avoir « dissimulé la dépouille de la victime », a indiqué la procureure dans un communiqué.</p><p>Salah Bouabdallah, âgé de 55 ans, avait disparu le 21 décembre dernier. Son téléphone avait été retrouvé le lendemain dans un caniveau, rapporte <a href="https://france3-regions.franceinfo.fr/occitanie/gard/nimes/disparition-de-salah-bouabdallah-l-affaire-prend-une-tournure-criminelle-les-aveux-du-fils-le-corps-toujours-introuvable-3273239.html">France 3 Occitanie</a>.</p><figure><iframe title="Australie : Le téléphone d’une randonneuse belge retrouvé plus de deux ans après sa disparition" width="100%" height="100%" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/mdtk/01357940/zone/1/src/3smz5rk/showtitle/1/" frameborder="0" scrolling="no" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" allowfullscreen="true" allow="autoplay" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"></iframe></figure><h2>Des vérifications en cours</h2><p>Le psychologue était fiché S et devait prochainement comparaître devant le tribunal correctionnel pour des faits d’apologie du terrorisme. Des faits en lien avec des prises de position propalestiniennes, selon la chaîne de télévision locale.</p><p>Son fils, inconnu des services de police, a été placé en garde à vue, soupçonné de meurtre. Des investigations sont en cours afin de vérifier ses déclarations, a précisé Cécile Gensac. </p>