Grèce : La découverte d’ossements relance l’enquête sur la disparition de deux randonneuses françaises

<p>L’enquête sur <a href="https://www.20minutes.fr/faits_divers/4096733-20240618-grece-sait-disparition-deux-touristes-francaises-parties-sous-chaleur">la disparition de deux randonneuses françaises sur l’île grecque de Sikinos</a>, en juin 2024, connaît un tournant. Selon une information de <a href="https://www.tf1info.fr/justice-faits-divers/info-tf1-grece-un-corps-retrouve-un-sac-pouvant-appartenir-a-une-randonneuse-francaise-disparue-decouvert-a-proximite-2412985.html">TF1.fr</a>, des ossements ont récemment été découverts dans une zone escarpée de l’île, accompagnés d’effets personnels susceptibles d’appartenir à Françoise Boutteaux, 73 ans. L’avocat de sa famille estime que ces éléments pourraient correspondre à la septuagénaire, disparue depuis plus d’un an.</p><p>Françoise Boutteaux et Marie-Pierre Arfel, 64 ans, s’étaient volatilisées lors d’un séjour de randonnée dans les Cyclades en <a href="https://www.20minutes.fr/dossier/grece">Grèce</a>. Le dernier contact connu remonte au jour de leur disparition : Françoise Boutteaux avait signalé à l’hôtel où elle résidait avoir chuté, sans jamais transmettre sa localisation par la suite. Malgré d’importants moyens déployés à l’époque, les recherches menées par les autorités grecques n’avaient pas permis de localiser les deux femmes et avaient fini par être interrompues.</p><figure><iframe title="Chapelle fouillée, jardinière saisie… Où en est l’enquête sur la mort d’Emile ?" width="100%" height="100%" src="https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/mdtk/01357940/zone/1/src/xz3qv0z/showtitle/1/" frameborder="0" scrolling="no" marginwidth="0" marginheight="0" hspace="0" vspace="0" webkitallowfullscreen="true" mozallowfullscreen="true" allowfullscreen="true" allow="autoplay" referrerpolicy="no-referrer-when-downgrade"></iframe></figure><h2>Des analyses à venir pour identifier les ossements</h2><p>Le contexte de la disparition interroge toujours. Les deux Françaises évoluaient dans un environnement particulièrement accidenté, sous une chaleur extrême dépassant les 42°C. Des éléments techniques, comme l’itinéraire retrouvé sur l’ordinateur de Marie-Pierre Arfel ou un appel téléphonique inexpliqué passé le jour des faits, n’ont jamais apporté de réponse définitive.</p><figure><a href="https://www.20minutes.fr/dossier/disparition">Tous nos articles sur les disparitions</a></figure><p>La justice française s’est saisie du dossier. Des analyses sont désormais attendues pour déterminer si les restes humains retrouvés sont bien ceux de Françoise Boutteaux.</p>